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j'adore me sentir femme
J’éprouve un réel plaisir à me maquiller et à porter des sous vêtements féminins.
Le matin, quand je m’habille, je mets toujours des sous vêtements féminins, culottes, strings ou tangas ainsi qu’un soutien gorge mais dont je laisse les bonnets vides.
Ce que j’apprécie tout particulièrement, c’est le contact de la matière sur mon corps et la finesse des détails, des broderies, ou tout simplement la coupe.
J’adore porter des strings et sentir mon sexe compressé dedans. Il n’est d’ailleurs pas rare que j’aie une érection qui survienne dès que j’enlève le string !
Quand je me masturbe, c’est avec ces sous vêtements. Je commence à me masturber à travers eux. J’aime sentir ce contact de la matière sur ma peau.
Je joue même parfois avec le soutien gorge en le nouant autour de mon sexe et ou en éjaculant dans les bonnets. Personne ne connaît mes tendances.
Mais j’aimerais bien trouver un homme qui partage le même intérêt que moi pour le travestisme.
Quant au maquillage, je le mets mais relativement discret. On m’a déjà fait plusieurs fois la remarque que je mettais du maquillage, mais honteux je dis qu’il s’agit de maquillage pour homme et que c’est pour me donner un style.
Je me masturbe aussi comme si j’étais une femme, considérant mon pénis comme un clitoris et mon anus comme vagin.
Je prends du plaisir à jouer à être femme, pour autant je n’ai aucunement envie de changer de sexe. Je vis cela seulement comme un jeu, un plaisir, un enchantement.Tags : masturbe, vetements, femme, maquillage, c’est
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Le surveillant général
J’avais 17 ans, j’étais interne dans un lycée à Rabat (Maroc), « il » m’avait fait découvrir une partie de moi que je ne connaissais pas. Parfois, j’assumais des permanences de nuit et de Week-end comme aide surveillant général d’internat.
Un surveillant nouvellement affecté, 50 ans, bien bâti et sportif, s’était vu confier la responsabilité de la surveillance du pavillon où je dormais. Il était directif et assez tranchant. D’autre part, il s’intéressait à ce que je faisais, a mes cours, au fait que j’occupais mon temps à apprendre, à découvrir ce qui m’entourait. Nous parlions de plus en plus, de chose et d’autre. Il me demanda un jour si mon envie d’apprendre se limitait à des domaines intellectuels, je lui répondis, c’est sur, avec mon physique, je ne risque pas de faire haltérophilie. Ca l’a fait rire de bon cœur. Et il me dit «il n’y a pas que cela, tu fais du sport ? ». Je lui répondis que oui. Assez vite, il s’est fait assez proche Au bout de quelques semaines, nos rapports étaient devenus très fluides, il était devenu très sympathique. Un soir, il était différent qu’a l’habitude, lorsqu’il rentra du tour de garde, je m’en souviens bien, c’était un samedi, il vint derrière moi, me dit « alors ça avance ta formation ? ». Je lui répondis, « ça avance, ça avance ». Et il me dit, « il va falloir que je te forme à d’autres choses, plus physique, tu vas te ramollir à rester assis tout le temps et plongé dans tes cours ». Il faisait chaud, il alla s’asseoir en face de moi, sur une banquette que nous avions. Il s’était mis en short. Je lui répondis « Ah quoi tu veux me former ? ». Il répondit «On va voir, On va voir». De son cartable, il sortit des revus pornos et les posa devant lui, sur la table. Moi j’avais rougi. Sa voix se fit plus posée, plus amicale. Je me levais et allais m’installer dans le fauteuil et feuillette les Pages. Les images qui défilaient sous mes yeux ajoutaient à la chaleur la tension. Des femmes nues dans plusieurs positions. Je finis de feuilleter, je repose la revue. Je n’ose en prendre une autre. Je crois qu’il le comprend. Il se penche sur la table et en prend une bien précise et me la tend. C’est une revue en Allemand. Dans celle-ci, Il y avait comme une histoire, très diversifiée. Un strip-tease. A mesure des pages, des femmes, des couples, des hommes étaient de plus en plus nus. Puis un homme, le sexe imposant et dressé. La page d’après, une femme était prise en levrette par l’homme de la page d’avant. A la page d’après, un 2éme homme est dans la bouche de la femme, elle était en sandwich. La page suivante fut pour moi d’une très grande surprise, l’homme qui était dans la bouche de la femme y était resté, l’autre au sexe imposant, était derrière l’homme, le sexe tendu, dirigé vers les fesses de celui qui se faisait faire une pipe, je tourne la page. Et là, l’homme toujours dans la bouche de la femme est en train de se faire enculer par l’étalon. J’étais subjugué par la scène. Je finis par tourner la page et là, la totalité du zob avait disparu dans le cul de celui qui se faisait sucer, l’angle de la photo ne laisse pas de doute sur la totale pénétration. C’est la première fois que je voyais une scène pareille, je la regardais avec insistance. Je me demandais comment, un tel sexe pouvait être englouti par un passage aussi étroit. Le surveillant général se leva et passa derrière moi. Une de ses mains se posa sur mon épaule. Regardant la page ouverte, il me demanda si j’aimais. Je ne répondis rien, rouge d’excitation et de honte. Il me dit « drôle, Non ». Je lui dis «c’est truqué, c’est pas possible ». Il me répondit « tu crois, moi je sais que c’est tout à fait faisable ». J’ai très chaud, je ne réponds rien. Je demande si je peux aller prendre une douche. Il me dit, «Bien sûr, il fait tellement chaud». Sans attendre je me dirige vers les douches. C’est une pièce ou il y a trois douches individuelles sans porte. Je me déshabille, allume l’eau et me mets dessous. L’eau me fait du bien. J’ai très chaud et je bande irrésistiblement. J’entends la porte s’ouvrir, je ne me retourne pas. Il me dit, moi aussi j’ai chaud. Il se déshabille, je tourne doucement mais irrésistiblement la tête, sa bite est conséquente. Il me regarde, ne se détourne pas, et entre dans la douche d’a côté. Je ne l’entends plus, mis à part l’eau qui coule. Je reste comme cela un moment, je me savonne, avec une envie incroyable de baiser. Je me sens épié mais je ne me retourne pas, je reste à la vision de sa bite. Puis; j’ai senti deux mains se poser sur mos dos. Et j’entends, « je vais t’aider » il me frotte le dos, je sursaute. Je le sens de plus en plus près, il me caresse le dos de plus en plus, de haut en bas. Je sens une de ses mains quitter mon dos et passer jusqu’à mon ventre, elle descend et me prend la bite. La sienne effleure mon cul. Je suis statufié, je ne bouge pas d’un pouce, je ne sais pas ce qu’il va m’arriver. De l’autre main, il prend mon poignet gauche et le tire derrière moi. Il me fait prendre son sexe, plus gros et plus long que le mien. Je le branle. Je le sens se durcir totalement, je ne sais plus quoi faire… tout se bouscule dans ma têtes, j’arrête de le branler, il me serre de près. Sa queue touche régulièrement mes fesses. Il soulève mes bras au dessus de ma tête et me les fait poser contre le mur qui est devant moi. J’essaie mollement de bouger, je ne pense plus, je ne sais rien à ce qui est en train de se passer. J’ai tout juste 17 ans. Il se frotte contre moi, je sens son zob glisser plus bas entre mes fesses. J’essaie de me dégager, impossible. Il me serre de plus près, je ne peux plus faire de mouvement. Il me dit « arrête de bouger ». Le ton est tranchant. Il dépose quelque chose de gras entre mes fesses et sur sa bite. Il recule légèrement, sa bite s’insinue ente mes fesses, il pousse en me tenant par le ventre et m’empêche d’avancer ou de me dégager. Dans l’agitation et avec cette cambrure, il trouve son ouverture, je le sens me forer, mon entrée finit par céder, je ressens une grande douleur. Sous une plus forte poussée, sa bite glissa en s’enfonçant en moi. La douleur me plie en 2, il en profite pour m’enculer un peu plus. J’ai très mal, j’ai peur et je me mets à pleurer. Sans m’entendre ni lâcher la pression, il continue à me prendre, je le sens respirer de plus en plus fort, et s’enfoncer de plus en plus en moi. Chaque mouvement de sa part me déflore un peu plus. Il me dit sans arrêt « T’aimes ça » J’ai l’impression que ça dure longtemps. Je le sens profondément en moi. Il me fait mal, mais ne ralentit pas. A chaque coup de boutoir je me sens défoncé un peu plus, mon cul est en feu. Avec une voix de dominateur, il me dit «tu vois que c’est possible de se faire enculer par une grosse queue ». Je sens son ventre claquer contre mes fesses. La douleur est violente. Puis il est secoué de soubresauts. Je me demande ce qui arrive, C’est ma fête, au mauvais sens du terme. Il finit par arrêter, reste comme ça planté au fond de moi, sans bouger. Je me sens pendu sur ce pieu, mes pieds touchant à peine par terre. Finalement, il me quitte aussi brutalement qu’il est entré et disparaît. Mes jambes ne me portent plus, je tombe. Je me sens écartelé. Je continue à pleurer sous la douche.
Je me lave et comprends pourquoi il s’est secoué de la sorte, son liquide quitte mon corps. Je n’ose pas revenir dans la pièce de garde. Au bout d’un très long moment, il faut bien que j’y retourne. Il est là habillé, il ne me regarde pas, il a l’air très gêné. Je ne dis rien. Je vais dans un coin de la pièce sans rien dire. Je ne pense qu’a ce qui vient d’arriver, je ne me suis pas débattu, je suis resté passif. La journée suivante s’écoule difficilement. Nous ne nous parlons pas. 2 nuits plus tard, je rêve de ce qui s’est passé. Ca me perturbe beaucoup, il me fait peur ce rêve, je l’ai ressenti comme un fantasme, je pense sans arrêt à ce qui s’est passé et qu’il recommence. Le Week-end d’après, il fait très chaud, les livres sont là. Je n’y touche pas, je lui dis que je vais prendre une douche. Il me dit OK. En entrant sous la douche, je me mets à bander et ne pense qu’à ce qui s’est produit la semaine précédente. Je me sens angoissé, palpitant, très inquiet, je ne sais plus ou j’en suis. 5 minutes plus tard, je l’entends qui pousse la porte. Il me dit « j’ai aussi envie de prendre une douche ». Je ne bouge pas, Il enlève son vêtement devant moi. Mon regard croise cette bite dressée et ambitieuse. Il laisse tomber son vêtement par terre. Rouge de honte, je retourne sous l’eau. Je ferme les yeux. J’entends l’eau de l’autre douche se mettre à couler. Je reste là, comme sculpté, je me disais qu’il fallait que je parte, je ne l’ai pas fait. Un moment se passe. Je sens une caresse sur mes reins, je sursaute en restant face au mur, celle-ci descend. Cette fois je réussis à dire « pas ça, pas ça » mais au lieu de me retourner et partir, je reste là comme un idiot. Il me met les 2 mains à plat sur le mur. J’étais très perturbé. Il me prend par la taille et se frotte contre moi. Il se penche vers moi et me dit très convaincu « c’est ça que tu veux ? ». Il se frotte de plus en plus, je sens sa queue contre mes fesses. Je lui réponds « pas ça, pas ça ». Il me serre contre lui. Je sens sa bite, dressée, conquérante et très grasse. Il la place entre mes fesses, je lui dis « non ». Il appuie plus et commence ses mouvements Mon entrée cède doucement et il entre. Il me lime en longs mouvements, il me possède. Son membre imposant prend possession de mon ventre, je le sens de plus en plus profond en moi, j’en ai le souffle coupé, j’ai moins mal que la première fois. Puis, Je le sens s’agiter fortement et je sais qu’il se vide en moi. C’était un Samedi après midi. Je me disais «je ne peux pas me laisser faire ça », mais je n’avais pas bougé, je ne m’étais pas débattu, j’avais eu mal et en même temps, je le laissais me faire mal. Le lendemain en milieu de journée, « je vais prendre une douche ». Il ne répondit rien. Une fois dans la douche, je me déshabille, entre sous l’eau, je sais qu’il va venir, j’ai juste poussé la porte. A ma grande surprise, il n’est pas venu. Trois jours durant, le soir, même manège sans qu’il ne vienne. Le Jeudi soir suivant fut un tournant pour moi. Je lui dis que je vais à la douche, Il se leva et m’accompagna. Arrivé dans la douche, je me déshabillais, il en faisait autant. J’entrai sous l’eau, Il entre dans la douche d’a côté. Je me mets à bander. Je me caresse doucement. Il me demande si ça va, je ne réponds pas. Il me rejoint sans attendre. L’eau coule sur mon corps. Je me retourne et lui fait dos. Il me touche et se met à me branler. Puis, il me retourne, je suis face à lui. Il me fait mettre à genoux. J’ai la tête à hauteur de sa bite. Elle trône devant mes yeux, je la vois énorme. Il l’attrape d’une main, la met à l’horizontal et touche mes lèvres. Je suis stupéfait et il me dit « ouvre la bouche » en passant son autre main derrière ma nuque. Ma tête est coincée entre cette main et sa queue. Il appuie, j’ouvrai la bouche qu’il remplit aussitôt. Une sensation incroyable et totalement nouvelle. Il faisait des aller et retour, mes lèvres épousant ce pieu. Je sentais chaleur et vibration, sa liqueur qui s’écoule. C’était la première fois et je me suis mis à le sucer et à pomper. Je me souviens très bien que, ce soir là, j’ai tout de suite aimé ça. Je ne luttais plus dans ma tête. Je l’entendais souffler, il me releva, me retourna. Je me penchais un peu en avant en m’appuyant contre le mur. Il comprit cela comme une invite. Je le vis enduire sa pine d’une crème sortie d’un tube, je me cambrais et il prit ce corps qui s’offrait, son entrée m’a fait beaucoup moins mal. Je me cambrais un peu plus. Il fit des mouvements lents, la douleur disparaissait. Il accéléra, et finalement, me chevaucha profondément, son ventre maintenant cognait contre mon cul. Je jouissais à grands jets pendant qu’il m’enculait. J’avais joui et aimé m’être fait défoncé. Le rituel de la douche devenait régulier et chaque fois, il me prenait copieusement. Moi, je prenais du plaisir et jouissais très fort. Un soir, il ne déchargea pas en moi. Après une longue pénétration, il sortit de son logement, se lava le sexe, me retourna et me fit mettre à genoux. Il mit sa queue dans ma bouche et me fit lui faire une fellation, cette fois, j’eus la bouche remplie de ce liquide épais et chaud, par jets successifs. Ce fut une révélation, j’avalais de plaisir, je le pompais aussi fort que je pouvais, j’adorais ça. Il avait pris ma tête entre ses mains et se branlait avec jusqu’à ce qu’il finisse de décharger. Ca m’avait fait un effet incroyable.
A partir de ce moment là, il me prit de plus en plus souvent et m’assura une « formation assidue », efficace et très régulière. Plus il me prenait et plus j’aimais.
mon amant, mon masseur
J’avais tout juste 18ans et je savais au fond de moi que j'étais gay. Je me suis surpris plusieurs fois à mater les gars au hammam et à m'imaginer en train de m'amuser avec leur queue. Et c’est là que je fis la connaissance d’un masseur, originaire de Ouarzazate, ville du sud marocain.
On s’est fixé rendez-vous. J'ai quand même un peu peur de rencontrer un inconnu, comme ça et d'aller chez lui.
J'arrive donc au lieu du rendez-vous. J'attends bien 10 min quand une mobylette arrive, passe 2 fois devant l'arrêt de bus. Je m'approche et là, le mec me dit "Karim?" Et oui c'est bien mon initiateur qui est là. Je monte derrière lui.
On fait la route jusqu'à chez lui et on discute de choses et d'autres, sans parler de sexe. Je suis rassuré, il a l'air gentil, doux et il parle super bien. On boit quelques verres de whisky et il me propose de se mettre sur son lit. Pourquoi pas ?
On commence alors à se toucher et il enlève direct ses vêtements pour se retrouver en caleçon. Il est vraiment superbe, grand, 1.80m, super bien taillé, il fait de la musculature et à voir son caleçon, il doit avoir une très belle tige.
Donc on commence à se toucher, s'embrasser et je me laisse plutôt faire étant donné que je n'ai pas beaucoup d'expérience. Il fait ça super bien, je touche son corps sexy et super bien fait, c'est le rêve. Mes doigts sont comme des plumes sur son corps qui ondule sous les caresses. C'est trop bon on passe un long moment comme ça, à se toucher, se caresser sans pouvoir jamais s'arrêter. Et là commence les caresses intimes. C’est surtout la grosse bosse que forme son slip qui m'intrigue et y a de quoi. Il s'allonge sur le dos et me tire sur lui, je le caresse toujours en l'embrassant et je commence à lui embrasser le cou, lui lécher les bras, les aisselles, le torse.
Quand j'arrive vers son caleçon, je commence à lécher par dessus, descends vers ses cuisses mais ses mains me ramènent sur sa tige. Je la sors sur le côté du caleçon, elle me parait énorme !! Je n’en ai jamais vu aussi bandante, ça me fait bizarre. Je descends son caleçon doucement et je laisse apparaître "le monstre". C'est une bite superbe, teint halé, circoncis avec un gland magnifique qui pointe droit et qui mesure au moins 24 cm sur 6, je n’en reviens pas que des bites comme ça puissent exister. Et là je commence ma 1ère fellation. Timide, je suce doucement le gland, le lèche comme une glace et l'enfourne dans ma bouche. Hummm ce bon gland, c'est exquis et je descends doucement pour enfoncer un maximum de sa bite et c'est dur.
Il m'appuie sur la tête pour que j'enfonce le plus possible mais y a bien 5 cm qui ne rentre pas dans ma bouche. Je redescends donc sur sa bite et recommence à lui lécher le gland, je m'applique pour lui faire du bien, joue avec ses boules en même temps, c'est trop bon. Et j'essaie à nouveau de la remettre entièrement en bouche, ce n’est pas facile, il se met sur les genoux, la bite en avant bien tendue et me dit "penche toi, cambre le cul et bouffe-la cette tige". Je me mets donc en position et commence à astiquer ce gros poireau bien raide. Je passe bien 1/4 d'heure à faire des essais et à l'enfoncer de plus en plus pour enfin arriver à l'avaler, je manque de m'étouffer et de vomir mais il me bloque la tête pour que je l'avale complète. Ca lui fait un bien fou et de sentir ce corps musclé me dominer et cette bite énorme dans ma bouche me fait bander à mort.
Après cette fellation d'enfer, il me dit qu'il faut que je me retourne et que je vais avoir droit à une superbe sodomie inoubliable.
Aie aie aie par cette grosse bite, moi qui n'ai jamais fait ça, tout d'un coup je me sens mal. Il m'allonge sur le ventre et commence à me bouffer la raie, il y enfonce sa langue et ça me procure un bien fou. Mais quand il approche avec son gland, je me contracte un peu, il me dit "détends to, t'inquiète je vais y aller doucement". OK j'écoute et me détends, je relève un peu le cul et le lui tends bien, ouvert au maximum. Il commence à poser son gros gland contre ma fente, enfonce doucement, force le passage et le voilà rentré. Aie putain j'ai un mal de chien ! Il m’a déchiré le cul, je suis sur que je saigne. Il se retire et me dit "t'inquiète pas, je vais te faire du bien, vas-y détends-toi" et se remet à me lécher la fente. La, je me détends bien et j'écarte bien l'anus pour qu'il y rentre bien sa langue. Et il est de retour, sa bite en avant plus raide que jamais à l'entrée de ma rondelle toute fraîche. Le gland rentre plus facilement et il commence des tout petit va et vient avec le bout de sa queue. Au fur et à mesure, il enfonce un peu plus à chaque coup. Il doit être rentré à moitié, je touche et oui il a la moitié de sa queue en moi, et là j'ai l'erreur de lui dire "vas-y défonce moi comme une chienne"
C'était la phrase à ne pas dire dans un élan, il recule et rentre toute sa bite d'un coup de rein féroce, le lit se décale d'ailleurs, j'ai le cul vraiment en feu cette fois il est entièrement en moi, je sens ses couilles taper sur moi et il démarre il me lime à fond comme une pute, me balance des insultes, se penche sur moi et me mordille les oreilles "t'aime ça petite pute" "prends mon barreau, grosse chienne, ça t'apprendra à venir chez des inconnus" et plus le temps passe, plus j'apprécie le contact de sa bite en moi. Dans un râle de plaisir, il me balance tout son foutre au fin fond de mon trou et s'étale sur moi, je sens des giclées de sperme en continue, il devait avoir une dose à me fourrer énorme. On reste comme ça un moment et il s'écarte, me laissant là sur le lit, les jambes écartées et le cul en feu.
Il me dit "viens sous la douche te laver, après je te ramènerai". Je le suis et on prend une douche, il me masse, je me remets à bander, et oui je n'ai pas joui. Il me caresse la bite et me suce à genoux dans la douche. Il touche mon trou en même temps qui est bien ouvert et il y rentre 3 doigts faciles. J'éjacule toute ma semence
Après la douche, il me raccompagne, m'embrasse langoureusement en me déposant et
viens donc adminsutrer mon blog cherieSuivre le flux RSS des commentaires de cet article
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Il m'est arrivé, il y a longtemps et bien avant de connaître la sodomie à fond, de fantasmer, m'imaginant en train de me faire violer par un homme après l'avoir sucé. Sucer la queue d'un homme est une expérience qui revient souvent dans mes fantasmes mais sans que j'aie jamais osé faire la moindre démarche pour cela. C'est le principe du fantasme : ça s'imagine. De toute façon, durant mon adolescence, trop d'appréhensions et une énorme timidité m'ont toujours empêché de tenter quoique se soit en la matière.
Un jour, il était environ 17 heures et j'ai eu envie de m'exciter en lisant quelques histoires érotiques. J'en ai lu plusieurs qui m'ont bien excité et notamment celles qui racontaient l'expérience réelle ou inventée d'un homme qui pour la première fois avait fait l'expérience de la sodomie et qui en avait retiré un plaisir extraordinaire.
C'est donc bien excité que j'ai décidé d'aller me soulager en me masturbant dans les toilettes du lycée où j'étais à Rabat (Maroc).
Au moment où je pousse la porte des toilettes je m'aperçois que le concierge chargé de l'entretien des toilettes est devant un lavabo en train de se laver les mains. Je passe derrière lui et rentre dans une des deux toilettes en refermant derrière moi.
Je baisse mon pantalon en essayant de ne pas faire trop de bruit, je prends 2 ou 3 feuilles de papier, je m'en entoure le sexe pour ne pas risquer de tacher mes vêtements et commence à me masturber doucement en me remémorant les passages les plus croustillants des histoires que je viens de lire.
Il ne s'était pas passé plus de 45 secondes que j'entends qu'on frappe légèrement à la porte. Surpris, j'arrête tout et je m'immobilise pour rester dans un silence complet. J'hésite à répondre, étonné que quelqu'un puisse frapper à la porte de toilettes occupées. J'ai d'abord cru à une erreur, que quelqu'un avait tapoté à la porte en passant sans penser que les toilettes était occupées mais lorsque j'entendis « allez, ouvre moi » mon cœur a bondi dans ma poitrine. Interloqué, ne sachant que répondre j'attends toujours en silence lorsque j'entends de nouveau « allez ouvre moi, je sais que tu te branles ».
Affolé, tout honteux je ne dis toujours rien, tout simplement parce que je ne sais pas quoi dire, lorsque j'entends, sur un ton plus ferme, « laisse moi rentrer ou je dis à tout le monde que tu te branles dans les chiottes ».
Alors là, je m'empresse de remonter mon pantalon, je me réajuste, je tire la chasse d'eau et j'ouvre avec la ferme intention de nier indiquant que j'étais tout simplement sur le trône en train de chier et que ces élucubrations n'avaient aucun sens.
Au moment ou je commence à entrouvrir la porte, je sens de l'autre coté une poussée du concierge qui se lavait les mains lorsque je suis arrivé, il me pousse vers le fond des chiottes et referme la porte derrière lui.
Alors c'était bon ? Me demande t'il.
Trop surpris par son intrusion je ne réponds pas immédiatement et il me dit « c'est pas la peine de nier, je t'ai entendu, d'ailleurs tu bandes encore » et à ce moment, il met sa main sur mon pantalon à l'endroit ou effectivement mon sexe encore à moitié tendu fais une légère bosse.
Il me dit encore « écoute, tu m'obéis, tu fais tout ce que je te demande et je te jure que je ne dirais rien à personne ».
A ce moment, j'ai conscience que j'aurais pu m'en tenir à ma résolution de tout nier et de le traiter d'obsédé sexuel et de le menacer de lui faire une réputation de pédé qui vient harceler les élèves jusque dans les toilettes. Je suis convaincu qu'il n'aurait pas pris le risque et qu'il m'aurait rapidement foutu la paix. Mais voilà, me trouver dans cette situation, partagé entre la honte et une certaine excitation, je n'ai pas dit ce que j'avais l'intention de lui dire. Sans vraiment encore savoir pourquoi je me suis entendu lui répondre « d'accord mais n'en profite pas ». Après coup je me dis que dire « n'en profite pas » était particulièrement absurde dans cette situation mais l'émotion peut faire dire n'importe quoi.
Le fait de prononcer ces paroles a été pour moi comme si je m'étais débarrassé brusquement de ma personnalité pour me livrer complètement aux désirs de cet homme.
Je ne sais toujours pas comment j'ai pu si facilement me laisser faire, probablement parce que mes lectures d'histoires érotiques avaient ravivé mes fantasmes et certainement aussi parce qu'il était aussi sur le point de partir en retraite.
Je sentais peut être intuitivement que c'était pour moi l'occasion d'assouvir ce vieux fantasme de soumission par un homme et que si je réfléchissais trop j'allais peut être passer le reste de ma vie à le regretter.
« D'accord, ne t 'inquiète pas, tu verras je suis certain que tu trouveras ça très agréable » m'a t'il répondu. « Allez enlève ton pantalon ».
Dans un état presque second j'ai enlevé mon pantalon en prenant soin de le plier et de le poser dans un coin. Puis rapidement, il a baissé mon slip jusqu'à mes chevilles. Il m'a fait asseoir, les fesses nues sur le siège dont le battant avait été rabattu. Il a baissé son pantalon et exhibé un sexe assez long et bien épais qu'il a présenté à ma bouche en me disant « suce moi ».
Drôle de sensation, très excitante, il bandait bien et je me suis surpris moi même à essayer de bien faire les choses en le masturbant doucement et en serrant mes lèvres le plus fermement possible sur sa hampe tout en lui caressant doucement les couilles de l'autre main.
Il semblait apprécier, il a commencé par me dire « c'est bon continue, tu suces comme une vrais salope, c'est bon ». Au bout de quelques minutes je l'ai senti se durcir de plus en plus et il m'arrêté d'un geste. Il m'a dit « tu vois que ce n'est pas si désagréable que ça et maintenant passons aux choses sérieuses ».
Il n'était pas très difficile de deviner ce qu'il entendait par là. Mais je ne lui répondis pas, j'étais de toute façon incapable de dire un mot.
A sa demande, je me suis levé puis il m'a retourné et en m'appuyant sur le dos m'a fait pencher, les mains posées sur le battant des toilettes. Cette position, le cul en l'air, offert, à provoqué en moi une brusque montée d'excitation. Enfin j'allais assouvir mon fantasme, découvrir la sodomie ! Mais en même temps j'avais honte, j'étais entièrement soumis et j'appréhendais : est ce que j'aurais mal, est ce que j'allais en retirer du plaisir ?
Je lui ai dit « doucement, je ne l'ai jamais fait » et il m'a répondu « y a un début à tout ».
Son ton a commencé à se durcir lorsqu'il m'a dit « tends bien ton cul et détends toi ». Puis il s'est baissé, j'ai senti ses mains m'écarter les fesses puis sa langue a commencé à me lécher l'anus. A ce moment j'ai commencé à ressentir une sorte de petit picotement. Après avoir introduit de la salive dans mon petit trou, je l'ai senti introduire un premier doigt, qu'il a remué dans mon cul en faisant des cercles, puis se fut un deuxième qui est venu le rejoindre. J'avais un peu mal et mon excitation commençait à retomber. Plus difficilement, il a remué ses deux doigts et essayé d'en introduire un troisième. Ce fut difficile, ça ne passait pas, il me faisait vraiment mal et je lui ai dit, alors il m'a répondu « tant pis pour toi, je vais te défoncer le cul ma chérie ».
A ce moment j'ai senti son sexe se presser contre mon anus. Ce fut laborieux j'étais trop serré alors il ajouté de la salive et pressé de plus en plus fort et j'ai senti soudain que son gland avait passé mon œillet. La sensation était plus douloureuse que jouissive et j'appréhendais la suite. Je lui répétais « doucement, doucement » mais il devenait de plus en plus impatient et forçait de plus en plus. Tout à coup, il m'a empoigné les hanches encore plus fermement et a poussé brutalement d'un coup sec. J'ai eu mal, Je me suis retenu de crier, après tout, nous étions dans les toilettes et n'importe qui pouvait entrer sans crier gare. Une fois qu'il a bien été calé au fond de moi, il m'a laissé le temps de m'accoutumer et la douleur s'est un peu estompée. Puis je l'ai senti m'écarter les fesses et il a commencé un mouvement de va et vient qui au bout d'un moment m'a procuré d'étranges sensations. C'est vraiment à ce moment que j'ai pris conscience que je me faisais enculer, que je me faisais pénétrer à fond d'une manière complètement soumise. A partir de ce moment j'ai commencé à sentir le plaisir monter, je ne bandais pas pour autant mais je sentais mon anus se dilater de plus en plus et les va et vient se faire facilement. Je ne pouvais m'empêcher de gémir doucement ce qui renforçait ce sentiment d'être dans la peau d'une femme soumise. Il me disait « c'est bon hein ! T'aime ça te faire défoncer le cul ! » Ou « je te l'avais dit que tu aimerais ça, tu vas voir, tu en redemanderas ».
Il a continué à me prendre de cette manière, entrant à fond puis sortant presque de mon cul, tout en m'écartant les fesses et en me répétant « putain qu'est ce qu'il est bon ce cul ...qu'est ce qu'il est bon ! »....pendant ce qui m'a semblé une éternité puis j'ai senti des spasmes et un liquide chaud se déverser au fond de moi, il gémissait en essayant de ne pas faire trop de bruit. Après avoir soufflé quelques secondes, il s'est retiré assez brusquement, s'est rhabillé sans dire un mot, m'a donné une tape sur les fesses puis est sorti des toilettes laissant la porte ouverte derrière lui.
Je n'ai pas bougé immédiatement, encore sous le choc puis réalisant que la porte était entrouverte je me suis redressé pour la fermer rapidement.
Ensuite je me suis adossé contre le mur, incapable bouger.
Je n'avais pas éjaculé, et je suis resté immobile dans cette position, le cul en feu. Je sentais son sperme couler par mon anus que j'imaginais entrouvert, attendant de me remettre un peu de mes émotions. J'avais du mal à réaliser ce qui venait de se passer.
Je me suis masturbé avec encore en tête ce qui venait de m'arriver et j'ai joui comme j'avais encore rarement joui. Un plaisir intense, une éjaculation puissante.
Je me suis rhabillé, un peu engourdi, puis je suis allé me passer le visage sous l'eau pour avoir l'air un peu présentable.
Lorsque je suis sorti des toilettes j'étais persuadé que n'importe qui me croisant se dirait « tiens celui la, il vient de se faire enculer », j'étais honteux et persuadé que cela apparaissait clairement sur mon visage, j'avais l'impression de marcher bizarrement du fait de mon cul douloureux.
Mais le lendemain, j'y suis retourné. A chaque fois c'était le même scénario, nous nous retrouvions en silence dans les toilettes, je le suçais et il m'enculait.